Le film relate l'histoire véridique de Hachikō, un chien, qui, après la mort de son maître en 1925, a attendu tous les jours le retour de celui-ci devant le portique d'entrée de la gare, pendant neuf ans, jusqu’à ce qu'il meure à son tour.

Jusqu'au milieu du XXe siècle, les tanukis, emprunts d'habitudes frivoles, partageaient aisément leur espace vital avec les paysans. Leur existence était douce et paisible. Mais le gouvernement amorce la construction de la ville nouvelle de Tama. On commence à détruire fermes et forêts. Leur habitat devenu trop étroit, les tanukis jadis prospères et pacifistes se font la guerre, l'enjeu étant de conserver son bout de territoire. Efforts dérisoires car la forêt continue de disparaître... Les humains, avec qui ils ont appris à cohabiter, font preuve d'un expansionnisme inexpliqué. Les chefs de clans coordonnent la riposte. Un plan est établi sur cinq ans : le temps pour les animaux d'étudier les humains et de réveiller leur pouvoir de transformation. Il va falloir tenter d'effrayer les humains en évoquant peurs et superstitions. Les solutions les plus farfelues sont expérimentées...

Reiji rencontre à sa demande son ami Goto dans un petit bar. Venu tout simplement pour discuter un peu avec lui, il va se retrouver embarqué malgré lui dans une aventure rocambolesque...

"Fukushima 50" est basé sur le livre de Ryusho Kadota, intitulé "On the Brink: l'histoire intérieure de Fukushima Daiichi", et raconte les séquelles du grand séisme dans l'est du Japon, du tsunami et des effondrements qui ont suivi à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Le film suit les 50 travailleurs courageux - y compris le superviseur de quart Isaki (Koichi Sato) et le surintendant de site Yoshida (Ken Watanabe) - qui ont risqué leur vie et sont restés à l'usine pour empêcher la destruction totale des réacteurs en surchauffe et minimiser les dégâts.