Pour retrouver l'héritage des ancêtres de son amie Catherine, le bondissant Bibi Fricotin, aidé de la voyante Fatma, traverse mille aventures drôles ou cocasses, grâce à de multiples moyens de locomotion, allant de la bicyclette à l'hélicoptère. Malgré les embûches semées sur sa route par l'oncle et la tante de la jeune fille, les Tartazan, l'héritage sera retrouvé chez un conservateur de musée.
Maurice Martin s'occupe avec fermeté de la loge de concierge qu'il tient avec sa femme, l'aimable Germaine. Leur fille, Jacqueline, travailleuse et sage, leur donnerait toute satisfaction si une idylle ne s'établissait entre elle et Georges Richet, le fils des propriétaires. Ceux-ci ne veulent à aucun prix de ce mariage, non plus que les Martin. Après une brouille passagère, les tourtereaux disparaissent. Les pères dressés d'abord l'un contre l'autre, se désespèrent et les mères se lamentent. Au retour des jeunes gens, on tue le veau gras et on célèbre le mariage dans la plus franche gaieté.
Pendant l'occupation allemande à Paris, Robert Klein, un Alsacien qui rachète des œuvres d'art à bas prix, reçoit, réexpédié, à son nom, le journal Les Informations juives qui n'est délivré que sur abonnement. Il découvre bientôt qu'un homonyme juif utilise son nom, et décide alors de remonter la piste qui le mènera à cet inconnu.
M. Lange est employé dans la société d'édition de Batala, patron véreux et sans scrupules. Durant ses heures de loisir, Lange écrit des histoires : les aventures d'Arizona Jim. Batala, menacé de poursuites pour n'avoir pas honoré un contrat publicitaire, décide de publier Arizona Jim, en modifiant à l'insu de l'auteur certains passages afin d'intégrer des réclames au texte. Ne pouvant plus honorer ses dettes, Batala prend la fuite. Le train dans lequel il s'enfuit a un grave accident, et on l'annonce mort. Les employés des éditions Batala s'organisent en coopérative, et lancent un nouveau magazine dont Arizona Jim est la figure principale. C'est un immense succès auprès du jeune public. Mais quelque temps plus tard, Batala, qui avait profité de l'accident de train pour voler l'identité d'une des victimes revient et réclame une part des bénéfices.