Une enseignante s’engage dans une relation ambiguë avec le cancre de sa classe de lycée professionnel ; une jeune femme déçue en amour décide de court-circuiter tous ses critères conscients et inconscients de choix, en sortant littéralement avec le premier venu ; la dernière histoire met en scène une jeune fille agnostique qui va être amenée à se poser des questions sur la religion chrétienne. Elle va au cours de son questionnement rencontrer un jeune homme un peu marginal et très croyant. Toutes ces histoires se croisent sans s’influencer, et trouvent une symbolique dans le lever de soleil qui donne son nom au film : Donoma (Le jour est là).
Parce qu’il voulait protéger son petit frère d’un père trop violent, Teddy, un jeune noir sans histoire, se voit accusé du meurtre de son père et est envoyé dans un Centre éducatif fermé, dans l’attente de son procès pour parricide. Il plonge alors dans un univers brutal dont il ne connaît pas les règles. Il fait la connaissance d’Enzo, le caïd du centre. Après une période d’affrontement dur, ils vont se lier d’amitié et s’évader. Leur échappée belle vers Amsterdam va leur permettre de fuir un destin qui leur semblait promis.