Phileas Fogg, gentleman anglais, parie, contre les membres de son club, qu'il est capable de faire le tour du monde en 80 jours. Il part aussitôt, emmenant Passepartout, son valet français, ancien clown et homme de ressources et, pour tout bagage, un sac plein de chèques. Une infinité de moyens de transport (ballon, bateau, train, éléphant…) leur permettra d'enchaîner une très longue suite d'étapes (Paris, l'Espagne, le canal de Suez, Calcutta, Hong Kong, San Francisco, New York…). Mais, dès Suez, Fix, un policier, va pourchasser les deux héros.
Sir Wilfrid, un brillant et expérimenté avocat spécialiste des causes perdues, sort d'un séjour prolongé à l'hôpital et doit, pour des raisons de santé, renoncer à s'occuper d'affaires criminelles trop stimulantes. C'est à ce moment que Leonard Vole, accusé du meurtre de Mme French, vient lui demander son aide. Bien que l'affaire paraisse passionnante, Sir Wilfrid refuse de s'en occuper pour préserver sa santé et conseille un autre avocat, Mr Brogan-Moore, un de ses anciens élèves. Après le départ de Leonard Vole du bureau de Sir Wilfrid, Christine Vole, la femme de Leonard, fait son apparition. Elle est son seul alibi pour le soir du meurtre. Son attitude très froide et son rôle crucial dans l'affaire font changer Sir Wilfrid d'avis, qui décide malgré les recommandations des médecins de s'occuper de cette affaire fascinante.
A Paris. Scénariste réputé, Richard Benson doit, le 14 juillet, remettre au producteur d'un film un scénario de deux cents pages. A 48 heures de l'échéance, en mal d'inspiration, Richard n'a guère écrit qu'une dizaine de pages. Gabrielle, une jeune secrétaire passionnée de cinéma, lui propose son aide. Mais l'alchimie de la production littéraire ne fonctionne toujours pas. A force de décliner toutes les situations possibles, Benson finit par vivre réellement les aventures les plus rocambolesques, issues de son esprit d'artiste. Gabrielle, qui se prend au jeu, l'accompagne. Benson, qui finalement lui trouve bien du charme, espère bien la séduire...
En 1948, le juge Haywood est envoyé à Nuremberg pour présider le procès de quatre magistrats allemands accusés de trop de complaisance à l'égard du régime Nazi. L'un d'eux, Janning, se renferme dans un silence méprisant et, en écartant les témoignages et les films sur les camps de concentration, dit qu'il n'a fait qu'appliquer la loi en vigueur...