Fiche et filmographie de Mamie Van Doren

Biographie et Filmographie de Mamie Van Doren

Filmographie de Mamie Van Doren

Le Chouchou du professeur
6.80
1958

James Gannon (Clark Gable) est rédacteur en chef d'un grand journal new-yorkais. Son métier, il l'a appris sur le tas et considère donc l'instruction comme une perte de temps. Aussi lorsque le professeur Stone l'invite a donner quelques conférences à son cours de journalisme, il lui envoie une lettre de refus lui expliquant de manière cinglante son point de vue. Apprenant la nouvelle, le directeur du journal oblige Gannon à se rendre sur place pour s'excuser afin de plaire à leur éditeur qui fait partie du conseil d'administration de l'université où enseigne le professeur Stone. Sur place quelle n'est pas sa surprise de découvrir que le professeur Stone est non seulement une femme, mais une fort jolie femme (Doris Day). Mais avant qu'il ait pu l'aborder, l'ayant pris pour un étudiant, elle le fait assoir avant de lire à la classe la lettre de Gannon et de ridiculiser ce dernier en le qualifiant de relique du passé. Piteux, Gannon quitte discrètement la classe.

Slackers
5.20
2002

Dave, Sam et Jeff vont bientôt être diplômés de l'université d'Holden avec une mention spéciale pour « mensonges, tricheries et vols ». Les 3 amis ont fièrement réussi leurs quatre années universitaires grâce à leurs combines en tous genres. Mais à l'approche des examens terminaux, ces stars du campus sont sur le point d'être démasquées. En effet, l'étrange et psychotique Ethan découvre leur manège et menace de les dénoncer s'ils ne l'aident pas à séduire la sublime Angela.

Pin-up, la revanche d'un sex symbol
8.70
2016

La pin-up est née avec le vélo. C’est par cette surprenante révélation que s’ouvre Pin-up – La revanche d’un sex-symbol, documentaire qui retrace de façon chronologique et didactique l’histoire d’une iconographie à l’influence aussi néfaste que positive.

Voyage to the Planet of Prehistoric Women
3.10
1968

L’histoire de ce film n’est pas commune : Le film original, datant de 1962, était soviétique et s’appelait Planeta Bur. Ses droits ayant été rachetés par un Américain, ces films ont bien sûr modifié l’œuvre soviétique comme cela les arrangeait. Le tout dans un contexte de guerre froide et de course à l’espace… Mais seules les trois premières minutes décrivent l’arsenal spatial américain. Cette petite introduction laisse alors place à la voix d’un des astronautes qui sera notre narrateur. Il évoque l’attirance qu’il a eue pour une créature de Venus. Une créature qu’il n’a jamais rencontrée, mais dont la force de la présence a suffit à le faire tomber amoureux. Le film est d’une lenteur qui laisse naître une certaine fascination pour les belles blondes des bords de mer vénusien. Nous découvrons, une planète presque hypnotisante, au rythme des vagues qui s’écrasent sur les rochers et du chant de ces sirènes blondes.