En 1949, le procureur américain Harvey Stovall remarque dans la vitrine d'un magasin à Londres un pichet ouvragé. Il l'achète car cet objet lui rappelle des souvenirs. Il se rend sur la base aérienne abandonnée (fictive) d'Archbury où il a servi pendant la Seconde Guerre mondiale. Le film fait alors un flashback en 1942. Le colonel Keith Davenport était le commandant du 918e Groupe de bombardement équipé de Boeing B-17. Envoyé au combat peu de temps après son arrivée, le 918e a subi de lourdes pertes, gagnant la réputation d'être un groupe « porte-poisse » et, le moral est au plus bas. La cause principale de ces pertes est la stratégie américaine de bombardement de précision de jour pour détruire des cibles spécifiques, plutôt que de procéder à des bombardements en « tapis de bombes ». Les B-17 volent à 10 000 mètres en s'appuyant sur la précision de leur viseur de bombardement Norden.
Évocation de la vie de Moïse sauvé à sa naissance par la propre fille du pharaon qui avait décidé de mettre à mort tous les nouveaux-nés hébreux de peur que les fils d'Israël ne deviennent plus nombreux que les Égyptiens. Cecil B. de Mille avait déjà tourne une version des Dix Commandements en 1923. Il récidive trente ans plus tard pour une version démesurée, sept mois de tournage, cent mille accessoires, des chameaux venus d'Australie, des lotus cueillis en Guinée britannique...
Le publiciste Roger Tornhill se retrouve par erreur dans la peau d'un espion. Pris entre une mystérieuse organisation qui cherche à le supprimer et la police qui le poursuit, Tornhill est dans une situation bien inconfortable. Il fuit à travers les Etats-Unis et part à la recherche d'une vérité qui se révèlera très surprenante...