Sweetback, le héros est au début un petit gigolo qui anime des shows pornographiques dans une maison close. Son proxénète le loue à la police pour effectuer un faux témoignage. Pendant le trajet, les agents de police tombent sur une manifestation pro-black et arrêtent un des leaders du mouvement. Alors qu’ils sont en train de passer à tabac le jeune révolutionnaire, Sweetback sort de son mutisme et tue ces policiers.Le film prend alors une autre tournure, notre héros a fait un grand pas pour sortir de cette immense spirale de passivité. La suite des évéments se résume assez bien par l’expression « Running Movie », où Sweetback est en cavale et tente d’échapper à cette interminable traque. Il va passer dans de multiples ghettos avant d’atteindre la frontière mexicaine.Le film nous présente une multitude d’éléments cycliques, du montage à la thématique, dans lesquels Sweetback passe et semble s’être libéré.
Dans les quartiers populaires de Philadelphie, Rocky Balboa collecte des dettes non payées pour Tony Gazzo, un usurier, et dispute de temps à autre, pour quelques dizaines de dollars, des combats de boxe sous l'appellation de 'l'étalon italien'. Déçu de le voir gâcher son talent, son entraîneur Mickey le laisse tomber, tandis qu'Apollo Creed, champion en titre, cherche un nouveau challenger...