Véritable mythe, Carlos est au cœur de l’histoire du terrorisme international des années 1970 et 1980, de l’activisme propalestinien à l’Armée rouge japonaise. A la fois figure de l’extrême gauche et mercenaire opportuniste à la solde des services secrets de puissances du Moyen-Orient, il a constitué sa propre organisation, basée de l’autre côté du rideau de fer, active durant les dernières années de la guerre froide. Le film est l’histoire d’un révolutionnaire internationaliste, manipulateur et manipulé, porté par les flux de l’histoire de son époque et de ses dérives. Nous le suivrons jusqu’au bout de son chemin, relégué au Soudan où la dictature islamiste, après l’avoir un temps couvert, l’a livré à la police française. Personnage contradictoire, aussi violent que l‘époque dont il est une incarnation, Carlos est aussi une énigme.
Auteur à succès de livres d'aventures, Felicia décide un jour de partir sur les traces des assassins de son père, archéologue. Accompagnée par son ami chirurgien, Gregor, la jeune femme découvre des instructions laissées à son intention par son père dans un petit carnet. Le couple entame alors un voyage qui les mène au Vatican, puis à Jérusalem. Dès leur arrivée en Italie, Felicia et Gregor sont poursuivis par les hommes d'une secte.
Allemagne, 8 Novembre 1939. Adolf Hitler prononce une allocution devant les dirigeants du parti nazi dans la brasserie Bürgerbräu à Munich. Une bombe explose, mais Hitler ainsi que Joseph Goebbels, Heinrich Himmler, Martin Bormann et d’autres ont quitté les lieux quelques minutes plus tôt. L’attentat est un échec. Rattrapé à la frontière suisse alors qu’il tentait de s’enfuir, Georg Elser est arrêté puis transféré à Munich pour être interrogé. Pour les Nazis, il s’agit d’un complot et on le soupçonne d’être un pion entre les mains d’une puissance étrangère. Rien ne prédestinait Georg Elser, modeste menuisier, à commettre cet acte insensé ; mais son indignation face à la brutalité croissante du régime aura réveillé en lui un héros ordinaire…
Un vétéran de la Guerre d'Afghanistan rentre chez lui, traumatisé. Pour ne pas perdre pied, il ne tarde pas à retrouver un travail. Il devient alors le garde du corps d'une adolescente orpheline. Celle-ci a assisté à un meurtre et devra bientôt témoigner au tribunal. Sa vie est en danger car les hommes de main du coupable sont à ses trousses...
Berlin, 1940. Après la capitulation de la France, Adolf Hitler est au sommet du pouvoir. Le couple ouvrier Anna et Otto Quangel habitent dans un quartier modeste. Leurs voisins sont des fervents nazis, des juifs, des sympathisants du régime, des intellectuels : un échantillon de la société allemande de l’époque. Un jour de juin, la vie des Quangel bascule brutalement. Hans Quangel, le fils unique du couple, est un de ces jeunes hommes sacrifiés qui meurent au front. Avec sa disparition disparaît aussi l'unique raison de vivre que les Quangel avaient encore. Anna et Otto ne sont pas des résistants, ce sont des parents qui ont perdu leur enfant.
Heidi, une jeune orpheline, part vivre chez son grand-père dans les montagnes des Alpes suisses. D'abord effrayée par ce vieil homme solitaire, elle apprend vite à l'aimer et découvre la beauté des alpages avec Peter, son nouvel ami. Mais la tante d'Heidi, estimant quil ne s'agit pas là d'une éducation convenable, place la fillette dans une riche famille de la ville. Heidi va-t-elle supporter cette vie, loin de la montagne et de son grand-père?