Une nouvelle fois, le village de Brescello connaît une effervescence occasionnée par une âpre polémique. Le maire Peppone a décidé que la commune serait jumelée avec Brezwyschewsky, une petite ville d'Ukraine. Prêt à tout pour empêcher cette association, Don Camillo se met en tête d'organiser un référendum puis entame une grève de la faim. Sans succès. Pendant ce temps, les élus italiens s'embarquent pour l'Union Soviétique. Avide de vengeance, Don Camillo accompagne la délégation. Afin de ne pas attirer l'attention des camarades soviétiques, il s'habille en civil. En Ukraine, les habitants organisent une réception en l'honneur des visiteurs. Bien des surprises attendent Don Camillo, Peppone et sa bande...
Dassa, un tenancier de bar qui refuse de distribuer de la drogue à ses clients, est abattu par les hommes de Tavernier dit "Le Mandarin". Peu après, Hélène, sa sœur, est molestée pour les mêmes raisons. Barnero, un jeune inspecteur est sur le coup ainsi que Favenin, qui vient d'être muté pour raisons disciplinaires. Dan Rover, un, ancien ami de Dassa, fait appel à Viletti pour venger la victime. Raymond fournira l'alibi aux deux complices. Barnero songe à abandonner le métier qui le déçoit mais veut auparavant arrêter Le Mandarin.
En échange d'une somme d'argent, Roy King et ses hommes acceptent de faire sauter une église servant d'arsenal à l'armée mexicaine. La mission accomplie, ils constatent que leur commanditaire a disparu. Les mercenaires retrouvent sa trace et se voient alors proposer un nouveau coup : dévaliser une banque pour un million de dollars.
Georgina de La Salle est une riche veuve qui vit dans une vaste propriété de la Côte d'Azur avec ses deux grands enfants, son beau-père et le docteur Francis, qui est son amant caché. Elle a à son service un jardinier, père d'une jolie jeune fille et un maître d'hôtel allemand. Elle invite pour les vacances Michel Saint Hamand, écrivain à succès.
Le film commence sur l’abdication de 1814 de l'empereur Napoléon Bonaparte, après la campagne de France de 1814 et à la restauration de la monarchie française du roi Louis XVIII entre 1814 et 1824. Il retrace ensuite les Cent-Jours, la bataille de Waterloo de 1815 et l’affrontement entre les deux commandants en chef, le duc de Wellington et l'empereur Napoléon Ier à Waterloo en Belgique.