Un magistrat incorruptible, le juge Bonifazi, poursuit de son zèle un riche industriel romain, corrupteur et corrompu, Lorenzo Santenicito, dont il est convaincu qu'il est le meurtrier d'une call-girl. . Au départ, un petit juge intègre et un gros bonnet de l'industrie lié au pouvoir politique, accumulant les fraudes et les trafics, président de 36 sociétés, promoteur véreux, capitaine d'industrie pollueuse, mauvais mari, fils indigne. Le bien et le mal. Mais peut-on condammer quelqu'un pour ce qu'il représente? Santenicito reprochera au juge Bonifazi d'avoir des préjugés contre lui, une phrase perdue dans la logorrhée chronique du personnage qui se drogue aux mots pour calmer son angoisse de la mort. Paradoxalement, c'est dans un tête à tête où tout les deux mentent qu'un brin de sincérité va réunir les deux hommes qui déjeunent dans un modeste restaurant sur la plage, Lorenzo Santeniceto semble rechercher un peu d'estime dans le seul homme non corrompu qu'il rencontre dans sa vie.
La jeune Gianna, fille d'un concierge et fan de romans policiers, rêve de porter l'uniforme. Malheureusement pour elle, elle n'est ni cultivée, ni très intelligente. Mais grâce à l'intervention d'un voisin, Gianna est acceptée et, malgré ses bourdes récurrentes à l'école de Police, parvient finalement à intégrer l'institution. Pour sa première affaire, elle va devoir retrouver une jeune mère{Photo 2 de La flic chez les poulets} célibataire, prostituée occasionnelle, qui a totalement disparue de la circulation en laissant sont petit garçon dans un couvent.
Suzy, une jeune américaine, arrive à Fribourg afin de suivre des cours dans une académie de danse prestigieuse. L’atmosphère générale dans l’école surprend la jeune fille, c’est une atmosphère étrange et inquiétante. Puis cela tourne au cauchemar lorsque surviennent des accidents terribles : un jeune élève est assassiné, un pianiste aveugle est égorgé par son propre chien… Suzy est par ailleurs souvent prise de malaises. Elle apprend que l’académie était autrefois la demeure d’une terrible sorcière surnommée la Mère des Soupirs. Et si l’école était encore sous son emprise ?