Charles Bonnet possède une impressionnante collection d'art, dont il vend parfois quelques pièces à d'autres amateurs. Seul problème, les œuvres sont en fait d'ingénieuses imitations. Par défi et orgueil, il accepte de prêter une somptueuse statuette à un musée : la Vénus de Cellini. Ce qu'il ignore, c'est que la fameuse statuette va faire l'objet d'une expertise. Sa fille, inquiète, décide de régler l'affaire à l'aide d'un séduisant inconnu, qu'elle prend pour un voleur mais qui est en réalité un détective privé.
Il fait bon vivre à Angevine, village que son maire préserve de toutes les mauvaises nouvelles et de tous les périls. Mais il ne peut rien en revanche pour retenir sa fille Marie, courtisée par un riche Américain en quête d'une énième épouse. Installée aux Etats-Unis, la jeune femme ne tarde pas à avoir le mal du pays. Son mari entreprend alors de déplacer pierre par pierre son village natal, avec tous ses habitants...
Mario monte à Paris y exercer son métier de coiffeur. Grâce à son talent, mais surtout grâce à son culot, il devient bientôt le grand coiffeur à la mode. Bien que marié avec une douce compagne de travail, il mène une vie de plaisirs jusqu'au jour où il se rend compte que cette vie n'est qu'un mirage.
En 1913, Pierre épouse Janine puis part à la guerre alors qu'elle est enceinte. Il apprend au front qu'elle est morte en donnant le jour à une fille. Il rentre, désespère, ne veut pas voir sa fille et cherche en vain son paradis perdu. Mais le jour où il accepte de reconnaître son enfant, il retrouve une raison de vivre.
Un brillant escroc, Olivier Parker, engage un petit vendeur de tuyaux, Amédée, pour escroquer un provincial naïf, Ferdinand Galiveau, marchand de poulets. Rebaptisé Teddy Morton et devenu jockey, Amédée doit monter une jument sur laquelle Ferdinand, conseillé par Parker, doit miser. Absolument convaincu de sa mystification, Parker mise sur un toquard qui perd, bien sûr, alors qu'au dernier moment Galiveau ayant misé sur un outsider, gagne une fortune. Il ne reste plus à Parker qu'à trouver un autre pigeon.