Paulette Germaine Riva, dite Emmanuelle Riva, est une actrice de cinéma et de théâtre et poète française née le 24 février 1927 à Cheniménil (Vosges) et morte le 27 janvier 2017 à Paris XVIe.
Noël Schoudler, chef d’une grande famille bourgeoise, dirige en autocrate un empire économique, dont les activités s’étendent de la banque et de la finance au monde de la presse en passant par le sucre. Les scrupules lui sont inconnus et il ne recule devant aucune manœuvre pour augmenter les profits de ses entreprises et la fortune de la famille. François, son fils, juge les méthodes paternelles un peu archaïques et prône quelques réformes qui ne sont pas appréciées. Afin de lui donner une leçon, Noël confie de nouvelles responsabilités à François, si bien que mal préparé, et un peu naïf, François se trouve dans une situation difficile et a un impérieux besoin d’argent. Il se tourne alors vers le cousin Maublanc, son père lui ayant refusé son aide. Maublanc est un débauché, c'est le parent indigne, sa façon de vivre est en contradiction avec les principes de la famille.
Dans un village de Normandie, une jeune élève accuse son instituteur, Monsieur Doucet, d'avoir tenté de la violer. Au cours de l'enquête, une autre jeune fille « avoue » qu'elle a eu des relations sexuelles avec M. Doucet, puis une troisième prétend à son tour qu'il se montrait entreprenant avec elle. Ce dernier se retrouve accusé de pédophilie et subit l'opprobre des villageois.
Dans un centre médical spécialisé où les cas désespérés viennent finir leur vie, un nouvel arrivant, Dimitri, la cinquantaine avancée, se lie avec Suzanne, une soignante trentenaire qui se dévoue aux malades depuis le décès de son mari. Ces deux blessés par la vie vont faire un bout de chemin ensemble jusqu’à ce que Dimitri s’éteigne en paix auprès de Suzanne que cet amour aura régénérée.
Une famille de classe moyenne dans une petite ville de province. Le père est professeur à l¹université, la mère s¹occupe avec soin de sa maison, la fille aînée s¹apprête à quitter le foyer, et le fils cadet est au collège et prend des cours de piano. On découvre très vite que la mère entretient avec son fils une relation ambiguë d¹amour et de haine, insupportable pour l¹enfant. L¹apparente normalité de cette famille va se fissurer, jusqu'au drame.
Jeanne, séduisante veuve, annonce son remariage à Charles et le met à la porte de chez elle, avec son chien. Elle fut sa maîtresse à la mort de son mari, meilleur ami de Charles, pendant leurs années de marine.Enceinte de père inconnu, Leïla, la jeune employée de maison ne peut lui offrir que son affection et son lumineux sourire. En retour, Charles lui donnera beaucoup plus.Sans autre ressource qu'une maigre pension, la rue attend Charles et son chien. Aucune main ne se tend vers lui et sa dignité lui interdit de tendre la sienne.Et lorsqu'ils se retrouvent seuls sur cette voie de chemin de fer le fracas du train qui fonce annonce-t-il la fin ou le commencement d'une autre vie ?
Georges et Anne sont octogénaires, ce sont des gens cultivés, professeurs de musique à la retraite. Leur fille, également musicienne, vit à l’étranger avec sa famille. Un jour, Anne est victime d’une petite attaque cérébrale. Lorsqu’elle sort de l’hôpital et revient chez elle, elle est paralysée d’un côté. L’amour qui unit ce vieux couple va être mis à rude épreuve.
Les Dieux n'aiment pas que l'on force le destin. Quand Jo débarque en Grèce avec ses fils, alors qu'elle sait que le festival qu'elle a créé est annulé pour cause de crise. Quand elle squatte une maison parce qu'on ne la loge plus. Quand elle force la main du maire pour faire quand même un "petit" spectacle... Les Dieux la punissent : ses fils lui font la gueule, le spectacle dégénère et son petit-fils couche avec une Grecque du village. Ils sont tous virés, c'est la fin d'une époque de sa vie.
Fiona, un bibliothécaire canadienne, débarque à Paris pour venir en aide à sa vieille tante Martha, menacée d'internement dans une maison de retraite. Mais Fiona perd ses bagages et découvre que Martha a disparu. C'est le début d'une avalanche de catastrophes, qui lui feront croiser le chemin de Dom, SDF égoïste, frimeur et collant qui lui pourrit la vie.
Durant l'occupation, dans une ville de province, la jeune veuve de guerre d'un juif communiste, mère d'une fillette, défie un prêtre sur le terrain de la religion. Certaine de sa rhétorique, les réponses du prêtre la déconcertent pourtant. Peu à peu, elle perd pied. Chaque nouvelle rencontre avec ce prêtre la rapprochera de la conversion. Sa résistance cédera devant le travail de la grâce. Une amie lui ouvrira involontairement les yeux sur l'une des raisons de sa conversion : l'Abbé Morin est beau.