De job en job, à 47 ans, Julien vivote encore, éternel mésadapté. Mais voilà qu’il vient de publier un récit autobiographique relatant ses souvenirs et sa relation particulière avec sa mère. Révélations troublantes d’une vie familiale où ont pesé de lourds secrets. Et ce roman «C’est le cœur qui meurt en dernier» connait un grand succès. Sa mère, avec qui il a, depuis des années, coupé les ponts, prisonnière d’une Villa Soleil, ignore encore que son fils ait pu oser raconter l’impensable dans son livre. Sans savoir, elle va chercher à le revoir, renouer contact, racheter le temps perdu, et lui demander de l’aider à «lever le flye», à «achever», ne se doutant pas qu’elle fera ainsi revivre les souvenirs enfouis.
Simon est un menteur compulsif. À sa grande surprise, sa famille, ses amis et ses collègues lui lancent un ultimatum collectif : il doit apprendre à dire la vérité. Mais Simon vit dans le déni et finit par raconter un mensonge de trop, provoquant une situation exceptionnelle : toutes les faussetés qu'il a racontées dans sa vie deviennent réalité. Les catastrophes se succèdent à son grand désarroi et, avec l'aide de son frère jumeau et d'une nouvelle collègue, il devra comprendre comment se sortir de ce cauchemar.
Du jour au lendemain, Simon Léotard, un promoteur immobilier, se retrouve ruiné par Lepidon, un concurrent verreux. Ce dernier lui réclame le remboursement des traites qu'il a consenties à son associé, Julien, qui vient de se suicider sans explication. Grâce à Mado, une jeune prostituée dont il tombe amoureux, Simon se venge de Lepidon.