Claude Giraud, né le 5 février 1936 à Chamalières (Puy-de-Dôme) et mort le 3 novembre 2020 à Clermont-Ferrand, est un acteur français.Au cinéma, ses rôles les plus connus sont celui de Phil
En 1840, sur le plateau enneigé de l'Aubrac, le capitaine de gendarmerie Langlois vient en plein hiver enquêter sur la disparition d'une jeune fille du village. Il tente de s'identifier à l'assassin afin de comprendre son comportement. L'assassin est « monsieur V*** », ce qui signifie « monsieur Voisin » : le tueur est quelqu'un de très quelconque, ce peut être votre voisin tout à fait banal qui vous dit bonjour tous les jours.
Après la mort de son mari Joffrey sur le bûcher, Angélique vit désormais avec Calembredaine à la Cour des miracles. Et après avoir récupéré ses fils, Angélique est bien décidée à retrouver son rang à la cour et à se venger de ceux qui ont causé sa perte. Après la mort de Nicolas, elle devient rôtisseuse au « Masque Rouge ». Mais des nobles, d'entre lesquels le frère du roi, ivres détruisent sa rôtisserie et tuent un jeune garçon, Linot. Angélique veut faire publier le nom de l’assassin. Pour éviter le scandale, le frère du roi étant l'assassin, le roi donne à Angélique de l'argent et la possibilité d'ouvrir une chocolaterie. Angélique devient riche et peut donc retrouver son rang. Elle veut épouser son noble cousin, Philippe de Plessis-Bellière.…
Grâce à son mariage avec son cousin Philippe, Angélique retrouve sa place à la Cour. Mais Philippe meurt à la guerre des Flandres. Le roi lui donne alors une mission, celle de séduire l'ambassadeur de Perse en vue de la signature d'un traité avec la France, en échange de lui permettre de retrouver des biens ayant appartenu à Joffrey. Angélique retrouve dans la maison de Joffrey à Paris des traces qui font penser qu'il est vivant...
Fille du baron de Sancé de Monteloup, élevée très librement, Angélique côtoie les jeunes gens de son âge, notamment Nicolas, son ami d'enfance. Afin de parfaire son éducation, son père la confie à son cousin et voisin le marquis de Plessis-Bellières. Raillée par son cousin, qui l'appelle la « marquise à la triste robe », elle surprend un jour une conversation, où l'on parle du projet du prince de Condé d'empoisonner le futur roi Louis XIV.