La prohibition a engendré une vague de violence qui déferle sur l'Amérique. À New York, au célèbre cabaret "Cotton Club", la pègre, les politiciens et les stars du moment goûtent les plaisirs interdits. Un danseur noir et un trompettiste blanc sont emportés dans une tourmente où l'amour et l'ambition se jouent au rythme des claquettes, du jazz... et des mitraillettes.
Eddie Lenahan est un petit escroc, et afin d'éviter la prison où des gangsters l'attendent, il se fait passer pour fou et se retrouve à l'hôpital psychiatrique. Ayant effectuer les 21 jours de surveillance médicale ordonné par le juge, Kevin risque de partir directement en prison car le directeur de l'hôpital le croit saint d'esprit. S'ensuit une mutinerie des malades qui ne veulent pas que Kevin parte. Ils retiennent le directeur en otage. En voulant détruire son dossier médical et s'enfuir, Kevin est surpris par l'administratrice de l'établissement qui le prend pour le docteur Kevin Slattery. N'ayant pas le choix, Eddie est obligé de jouer le jeu s'il veut s'en sortir. Malheureusement la folie gagne l'hôpital, et les éléments extérieurs se déchainent. Coupé du reste du monde par un ouragan, Eddie tentera de remettre de l'ordre dans l'hôpital en examinant des patients, en effectuant un accouchement et en se servant d'un hélicoptère comme ventilateur !
Evocation de la terrible experience de Ron Kovic, né un 4 juillet, jour de la fête nationale américaine, excellent citoyen, Marine et engagé volontaire au Viet-nam. Il fut blessé en 1968 à la colonne vertébrale et paralysé à vie. Le film retrace sa terrible épopée pour retrouver un sens à la vie et nous conte vingt années de l'histoire américaine. En quelque sorte la suite de "Platoon" réalisée avec autant de soin et la participation de spécialistes des questions de guerre.
Jacob Singer, un employé des postes new-yorkaises, est assailli par de nombreux cauchemars durant ses journées. Il voit des hommes aux visages déformés et se retrouve dans des lieux qu'il ne connaît pas. Jacob est victime des flashbacks incessants de son premier mariage, de la mort de son fils et de son service au Vietnam. Jours après jours, Jacob s'enfonce dans la folie en essayant de comprendre ce qui lui arrive avec l'aide de Jezebel, son épouse.
En 1975, à New York, Carlito Brigante, un ancien trafiquant de drogue, est libéré de prison grâce à David Kleinfeld, son avocat, qui a découvert plusieurs vices de forme dans la manière dont le procureur Bill Norwalk avait instruit le procès. Carlito est bien décidé à rentrer dans le droit chemin et, dès qu'il aura économisé assez d'argent, il compte se retirer aux Bahamas pour s'assurer une retraite paisible avec Gail, sa compagne danseuse dans une boîte de strip-tease. Mais le destin en décidera autrement.
Tom Ripley, jeune homme désargenté mais ambitieux, attire l’attention d’un riche vieillard, Herbert Greenleaf, qui le charge de convaincre son fils Dickie, exilé en Italie, de rentrer aux États‐Unis. Sur place, Tom se laisse fasciner par l’existence insouciante et dorée que mène le jeune oisif. Il adopte ses goûts, imite son comportement, désire sa compagne, et va jusqu’à s’éprendre de Dickie lui‐même. Celui‐ci, dans un premier temps, traite Tom comme un ami mais, très vite, il commence à le trouver encombrant, pour ne pas dire énervant. Un jour, alors qu’ils sont seuls en mer, Tom avoue son amour à Dickie, qui le repousse violemment. Le conflit qui s’ensuit se termine par la mort de Dickie…
Enfant, Vincent LaMarca a vécu dans la honte de son père, mort sur la chaise électrique de la prison de Sing-Sing pour avoir tué un enfant au cours d'un enlèvement raté. Désormais, c'est un policier qui mène une existence paisible, jusqu'au jour où il apprend le meurtre de son partenaire.Le suspect numéro un est en fuite : il s'agit de James, son propre fils qu'il a abandonné après un divorce difficile. Convaincu de sa culpabilité, Vincent connaît le sort qui est réservé aux assassins d'un membre de la police... Il décide de capturer James et de le remettre à la justice avant que ses confrères ne mettent la main dessus.
Erica Bain a trouvé dans les rues de New York son domaine de prédilection. C'est là qu'au fil de ses longues marches, elle recueille les sons et les histoires vécues qui alimentent son émission radiophonique « Street Walk ». Le soir, elle rejoint l'homme de sa vie, son fiancé David Kirmani. Mais, une nuit, le couple est sauvagement agressé aux abords de Central Park. Erica, grièvement blessée, a en outre la douleur de perdre son compagnon. Erica se remet lentement de ses blessures, mais non de la perte de David. Pire, la ville qu'elle aimait tant lui inspire désormais une profonde angoisse. Ses lieux les plus familiers, les plus accueillants, lui sont devenus aussi étranges qu'inquiétants. Erica décide d'agir contre cette peur qui menace sa raison. Elle s'achète une arme…
Bertran Pincus est un homme chez qui les relations humaines laissent à désirer. Il meurt soudainement puis ressuscite miraculeusement après sept minutes. Il se réveille alors avec le don particulièrement gênant de pouvoir parler à des fantômes. Pire, il semblerait qu'ils cherchent tous à obtenir quelque chose de lui, spécialement Franck Herlily qui le harcèle en lui demandant de tout faire pour annuler le mariage de sa veuve Gwen.
L’histoire vraie de Ron Stallworth qui fut le premier officier de police afro-américain de Colorado Springs à s’être infiltré dans l’organisation du Ku Klux Klan. Étonnamment, l’inspecteur Stallworth et son partenaire Flip Zimmerman ont infiltré le KKK à son plus haut niveau afin d’empêcher le groupe de prendre le contrôle de la ville.
New York, 1978. Entre ses prêteurs sur gages, ses sex-shops et ses bars clandestins tenus par la pègre irlandaise, Hell's Kitchen a toujours été un quartier difficile. Et mal famé. Mais pour Kathy, Ruby et Claire, épouses de mafieux, la situation est sur le point de basculer. Car lorsque leurs maris sont envoyés en prison par le FBI, elles reprennent en main les affaires familiales, en poursuivant leurs trafics et en éliminant la concurrence … au sens littéral. Désormais, ce sont elles qui tiennent le quartier.