À l’aube, les habitants d’une ville de l’état de Washington se réveillent à la vue surréaliste de parachutistes étrangers qui tombent du ciel. Les États-Unis sont en état de siège et leur foyer natal semble être l’objectif initial de cette invasion. Sans aucun avertissement, les citoyens se retrouvent prisonniers dans leur propre ville, sous l’occupation ennemie. Déterminés à retrouver leur liberté, un groupe de jeunes patriotes trouvent refuge dans les bois adjacents, où ils s’entraînent, afin de former une cellule de résistance. S’inspirant de l’équipe de football de leur école, ils se surnomment les Wolverines. Ensemble, ils s’unissent pour protéger leurs concitoyens, libérer leur ville de ses assaillants et retrouver la liberté qu’on leur a injustement arrachée.
Infectés par des "nanites", cellules microscopiques modifiées, Ben, Gwen et Kevin vont devoir faire face à Rex , un personnage qui a la capacité incroyable de se développer sur des machines grace à son corps. Recruté par une organisation appelée la Providence, Rex parcourt le monde et enquête sur une série de mutations biologiques qui ont été créés par les mêmes "nanites" qui donnent à Rex ses pouvoirs. Rex étant une génératrice de l'homme qui a soif de gouverner la planete terre, seul nos héros pourront l'arrêter et empêcher le massacre de s'accomplir, y arriveront t-il ?
Au soleil de l'été, Sara et ses amis sont bien décidés à passer un week-end de pur fun sur une petite île privée d'un immense lac salé de Louisiane. Pourtant, lorsque Malik, le jeune footballeur vedette, sort d'une séance de ski nautique inconscient avec un bras en moins, l'ambiance n'est plus à la fête. Convaincue qu'il s'agit d'un accident, la petite bande embarque sur un speedboat afin de conduire le blessé à l'hôpital de toute urgence, mais les jeunes gens vont vite s'apercevoir que le lac est infesté de requins ultra agressifs. Pour Sara et les siens, face à des prédateurs prêts à tout pour qu'aucune proie ne leur échappe, c'est le début du cauchemar. Assiégés, piégés, dévorés, terrifiés, très peu reverront la terre ferme...