Fiche et filmographie de Adina Cristescu

Biographie et Filmographie de Adina Cristescu

Filmographie de Adina Cristescu

4 mois, 3 semaines, 2 jours
7.50
2007

1987, Roumanie, quelques années avant la chute du communisme. Ottila et Gabita partagent une chambre dans la cité universitaire d'une petite ville. Gabita est enceinte et l'avortement est un crime. Les deux jeunes femmes font donc appel à un certain M. Bébé pour résoudre le problème. Mais elles n'étaient pas préparées à une telle épreuve.

Diaz : Un crime d'état
7.10
2012

En 2001, pendant la dernière journée du G8 de Gênes, quelques instants avant minuit, plus de 300 officiers prennent d'assaut l'école Diaz, à la recherche des militants du Black Bloc. Dans l'établissement, se trouvent 90 activistes, dont la plupart sont des étudiants européens accompagnés de quelques journalistes étrangers, qui s'apprêtent à passer la nuit à même le sol de l'école. Alors que les forces de l'ordre font irruption, les jeunes manifestants lèvent les mains pour se rendre. Imperturbables et implacables, les policiers se livrent à des exactions préméditées d'une violence inouïe, frappant indifféremment jeunes et vieux, hommes et femmes.

Retour à la maison
5.90
2015

Robert est un jeune journaliste qui traverse une mauvaise passe. Il retourne dans son village natal pendant un jour… un jour pour rencontrer son père, avec lequel il a eu des relations tendues, et deux anciens camarades de classe : Petrica, son ancien meilleur ami, à présent marié et père de famille, et Paula, son amour de jeunesse. Le temps est à présent venu de changer son destin.

Aferim
7.60
2015

En 1835, un policier et son fils parcourent la campagne roumaine à la recherche d’un esclave gitan accusé d’avoir séduit la femme du seigneur local. Tel un shérif d'opérette chevauchant dans les Balkans sauvages, le fonctionnaire zélé ne perd pas une occasion d’apprendre à son rejeton le sens de la vie. A grands coups d’insultes grivoises, proverbes ridicules, morale bigote, humiliations gratuites, menaces et autres noms d’oiseaux, Costandin affiche son mépris des femmes, enfants, vieillards, paysans, juifs, turcs, russes et surtout, surtout, des gitans. Se jouant des clichés du western d’antan, AFERIM! se moque avec cynisme et mordant de l’intolérance des hommes, d’hier comme d’aujourdhui !